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Agence de Coaching holistique et énergétique pour particulier et professionnel By Marianne (Mougins, 06, à distance)

ASCENSEUR, CROYANCES ET LIBERTÉ INTÉRIEURE

Comment nos conditionnements façonnent notre vie et comment s'en libérer ? 

Il y a des expériences du quotidien qui, en apparence anodines, révèlent en réalité la profondeur de nos conditionnement et la puissance de nos croyances collectives. Récemment, j'ai vécu l'une de ces situations avec une amie. Nous sommes entrées dans un ascenceur vide? Par jeu, nous avons décidé de nous placer au fond, tournée face ....

 

Une expérience révélatrice

 

Il y a des expériences du quotidien qui, en apparence anodines, révèlent en réalité la profondeur de nos conditionnement et la puissance de nos croyances collectives. Récemment, j'ai vécu l'une de ces situations avec une amie. Nous sommes entrées dans un ascenceur vide. Par jeu, nous avons décidé de nous placer au fond, tournée face au mur, dos à la porte d’entrée. Rapidement, d’autres personnes sont montées. Leur réaction a été immédiate : malaise, incompréhension, certains ont même semblé paniquer. Pourquoi une telle réaction face à un geste aussi simple ?

En tant que coach holistique, j’observe chaque jour à quel point nos comportements sont guidés par des règles invisibles, héritées de notre éducation, de notre culture et de la société. Cette anecdote, aussi banale soit-elle, est une illustration parfaite de la manière dont nos croyances façonnent notre perception du monde et influencent nos choix, souvent à notre insu.

 

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Les racines de nos comportements : l’éducation et les croyances collectives

Les croyances et leurs impacts a l age adulte holis me by marianne aupetit coaching holistique

Dès la naissance, nous sommes baignés dans un environnement qui nous transmet des croyances, des règles et des normes. De zéro à six ans, l’enfant évolue dans une phase d’accueil, d’acceptation et d’intégration. C’est l’âge où il apprend par mimétisme, où il s’imprègne de ce qu’il observe chez ses parents, ses enseignants, et à travers les médias ou les livres.

Vers deux ans, l’enfant entre dans la phase d’affirmation de soi, ce fameux « non » qui marque le début de l’individualité. Mais très vite, sous l’influence des adultes et de la société, il apprend à se conformer. À partir de six ans, il entre dans la phase d’acceptation : il intègre les croyances, les règles et les façons d’être de son entourage comme des vérités, qui deviennent peu à peu des habitudes, puis la normalité.

L’apprentissage par mimétisme

L’enfant observe, imite, puis intègre. Il apprend à marcher, à parler, à se comporter en société en reproduisant ce qu’il voit. Maiseil intègre aussi, sans s’en rendre compte, les peurs, les jugements, les attentes et les croyances de son environnement. Ce processus est naturel et nécessaire à la survie et à l’intégration sociale, mais il peut aussi devenir un frein à l’expression de l’authenticité.

La construction de la normalité

Ce que nous appelons « normal » n’est en réalité qu’un ensemble de comportements et de croyances partagés par un groupe. Ce qui est normal ici ne l’est pas forcément ailleurs. Pourtant, dès l’enfance, nous apprenons à nous conformer à cette normalité, à l’intégrer comme une évidence, sans même la remettre en question. Nous adoptons les codes, les attitudes, les façons de faire et de penser qui sont valorisées par notre famille, notre école, notre culture. Cela nous permet de nous sentir acceptés, intégrés, en sécurité au sein du groupe.

Mais cette normalité, aussi rassurante soit-elle, peut devenir une prison invisible. Elle nous pousse à agir, à penser, à ressentir d’une certaine manière, même si cela ne correspond pas toujours à notre nature profonde. Elle nous incite à éviter tout ce qui pourrait nous faire sortir du rang, de peur d’être jugés, rejetés ou exclus.

Prenons l’exemple de l’ascenseur. Dans la plupart des cultures occidentales, il est « normal » d’entrer dans un ascenseur face à la porte, prêt à sortir dès qu’elle s’ouvre. Ce comportement, qui semble naturel, est en réalité le fruit d’un apprentissage collectif. Lorsque, avec mon amie, nous avons choisi de faire l’inverse, cela a créé un malaise chez les autres passagers. Nous avons brisé une règle tacite, une norme profondément ancrée. Ce simple geste a mis en lumière la force de nos conditionnements.

Le système de punition et de récompense : un héritage puissant

Derrière cette normalité se cache un système de régulation sociale très ancien : le système de punition et de récompense. Dès l’enfance, on nous apprend que si nous faisons ce qui est attendu, nous sommes félicités ou récompensés. À l’inverse, si nous dévions de la norme, nous risquons la réprimande ou la punition. Ce schéma, répété à l’école, dans la famille, puis au travail, façonne notre estime de nous-mêmes et notre rapport à l’autorité.

Les conséquences sur l’estime de soi

Ce conditionnement engendre des peurs : peur de l’échec, peur de ne pas être à la hauteur, peur de ne pas être aimé ou reconnu. Ces peurs influencent nos choix, nos comportements, parfois même à notre insu. Elles nous poussent à agir par conformité, à éviter de prendre des risques, à réprimer notre authenticité. L’enfant qui a été puni pour avoir osé exprimer une différence, ou qui n’a été valorisé que lorsqu’il se conformait, grandit souvent avec une estime de soi fragile. Il apprend à chercher la validation à l’extérieur, à attendre l’approbation des autres pour se sentir légitime.

La peur de sortir du cadre

Ce système de punition et de récompense ne s’arrête pas à l’enfance. Il se prolonge à l’âge adulte, dans la vie professionnelle, dans les relations, dans la société. Beaucoup d’adultes ressentent encore la peur d’être jugés, de ne pas faire « comme il faut », de sortir du rang. Cela se manifeste dans de nombreux aspects de la vie : au travail, dans la façon de s’habiller, de s’exprimer, de prendre des décisions. On évite de déranger, de déplaire, de se faire remarquer. On préfère souvent la sécurité de la conformité à la liberté de l’authenticité.

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L’expérience de l’ascenseur : un miroir de nos conditionnements

L’expérience de l’ascenseur est un exemple frappant de la manière dont nos conditionnements influencent nos réactions. En nous plaçant face au mur, nous avons simplement inversé un comportement habituel. Pourtant, cette petite transgression a suffi à créer un malaise, une tension palpable. Les autres passagers se sont sentis déstabilisés, certains ont même ressenti de l’anxiété.

Pourquoi une réaction aussi forte à un geste aussi anodin ? Parce que nous avons touché à une règle implicite, à une norme collective. En sortant du cadre, nous avons mis en lumière l’existence de ce cadre, que la plupart des gens suivent sans même s’en rendre compte. Ce genre de situation révèle à quel point nos comportements sont dictés par des automatismes, des habitudes, des croyances héritées.

Le poids du regard des autres

Le malaise ressenti par les autres passagers ne venait pas seulement de la surprise, mais aussi de la peur du jugement. En voyant deux personnes agir différemment, une question inconsciente surgit : « Est-ce moi qui fais mal ? Suis-je en train de rater une consigne ? » Ce doute, même fugace, peut générer de l’inconfort, car il remet en cause la sécurité que procure la conformité. Face à l’inattendu, beaucoup préfèrent se raccrocher à la norme, quitte à ressentir de la gêne ou de l’agacement envers ceux qui la transgressent.

Ce phénomène est profondément humain. Nous sommes des êtres sociaux, et notre cerveau est programmé pour rechercher l’acceptation du groupe. Dans l’histoire de l’humanité, être exclu du groupe signifiait souvent un danger vital. Aujourd’hui encore, cette peur de l’exclusion, du rejet ou du ridicule influence nos comportements, même dans des situations aussi banales qu’un trajet en ascenseur.

L’influence invisible des règles tacites

Les règles tacites, ces codes de conduite non écrits, sont partout. Elles régissent la façon dont nous nous habillons, dont nous saluons, dont nous nous comportons en public. Elles sont si intégrées que nous n’en avons même plus conscience, jusqu’au moment où quelqu’un les transgresse. C’est alors que le malaise apparaît, révélant la force de ces conditionnements.

Dans l’ascenseur, la règle tacite veut que l’on se tienne face à la porte. Personne ne l’a jamais explicitement formulée, mais tout le monde la suit. La transgresser, même sans intention de provoquer, suffit à perturber l’équilibre du groupe. Ce simple exemple montre à quel point nos vies sont structurées par des normes invisibles, qui orientent nos choix et nos réactions.

L’impact sur notre liberté d’être

À force de suivre ces règles sans les questionner, nous finissons par limiter notre liberté d’être. Nous nous interdisons certains comportements, certaines expressions, par peur de sortir du cadre. Nous réprimons nos élans spontanés, nos envies de nouveauté, pour rester dans la zone de confort du « normal ». Cette autocensure, souvent inconsciente, peut nous éloigner de notre authenticité et de notre joie de vivre.

Les conséquences des conditionnements sur la vie adulte

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Les conditionnements intégrés dans l’enfance ne disparaissent pas avec l’âge. Ils continuent d’influencer nos choix, nos relations, notre façon de penser et d’agir. Comprendre leur impact est essentiel pour retrouver notre liberté intérieure.

La peur de l’échec et du jugement

Le système de punition et de récompense, associé à la pression du regard des autres, engendre une peur profonde de l’échec et du jugement. Beaucoup d’adultes hésitent à prendre des initiatives, à exprimer leurs idées, à changer de voie, par crainte de ne pas être à la hauteur ou de décevoir. Cette peur peut conduire à l’inaction, à la procrastination, voire à l’auto-sabotage.

L’adaptation excessive et la perte de soi

Pour éviter la punition ou le rejet, nous développons des stratégies d’adaptation : nous cherchons à plaire, à répondre aux attentes, à nous fondre dans la masse. À force de nous adapter, nous risquons de perdre le contact avec nos désirs profonds, nos valeurs, notre singularité. Nous vivons alors une vie qui ne nous ressemble pas vraiment, guidée par le « il faut » et le « je dois » plutôt que par le « j’ai envie » ou le « je choisis ».

L’apparition de tensions et de mal-être

Ce décalage entre ce que nous sommes et ce que nous croyons devoir être peut générer des tensions intérieures, du stress, de l’anxiété, voire des troubles plus profonds comme la dépression ou le burn-out. Le corps lui-même peut exprimer ce mal-être à travers des symptômes physiques : fatigue, douleurs, troubles du sommeil, etc. Ces signaux sont autant d’appels à l’authenticité, à la reconnexion avec soi.

Prendre conscience de ses conditionnements : la première étape vers la liberté

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de se libérer de ces conditionnements. La première étape consiste à en prendre conscience. Observer ses réactions, ses peurs, ses automatismes, sans jugement, permet de mettre en lumière les croyances qui les sous-tendent.

S’observer dans le quotidien

Chaque jour, nous avons l’occasion d’observer nos comportements et ceux des autres. Pourquoi faisons-nous les choses d’une certaine manière ? Quelles sont les règles implicites qui guident nos choix ? Quelles peurs ou quels désirs se cachent derrière nos actions ? Prendre le temps de s’interroger, de questionner l’évidence, ouvre la porte à de nouvelles possibilités.

Identifier les croyances limitantes

Derrière chaque automatisme se cache une croyance. « Je dois être parfait pour être aimé », « Il ne faut pas déranger », « Je ne dois pas me faire remarquer »… Ces croyances, souvent héritées de l’enfance, peuvent être identifiées et remises en question. Il s’agit de se demander : est-ce vraiment vrai ? Est-ce que cette croyance me sert ou me limite aujourd’hui ?

Accueillir ses émotions

Le malaise, la peur, la colère ou la tristesse sont des signaux précieux. Plutôt que de les fuir ou de les réprimer, il est utile de les accueillir, de les écouter. Que viennent-elles me dire sur mes besoins, mes aspirations, mes limites ? Les émotions sont des messagères qui nous invitent à nous reconnecter à nous-mêmes.

Oser sortir du cadre : l’audace d’être soi

Se libérer des conditionnements, c’est oser sortir du cadre, expérimenter de nouvelles façons d’être et d’agir. Cela demande du courage, mais aussi de la bienveillance envers soi-même.

Expérimenter en douceur

Il n’est pas nécessaire de tout bouleverser du jour au lendemain. On peut commencer par de petits pas : oser dire non, exprimer une opinion différente, essayer une nouvelle activité, changer une habitude. Chaque expérience, même minime, renforce la confiance en soi et élargit notre zone de confort. Ces petits pas sont essentiels, car ils permettent d’apprivoiser la nouveauté sans se mettre en insécurité. Par exemple, oser exprimer une préférence lors d’un choix collectif, proposer une idée originale en réunion, ou simplement modifier sa routine quotidienne, sont autant de moyens de s’entraîner à sortir du cadre imposé.

Avec le temps, ces expériences s’accumulent et transforment notre rapport à nous-même et aux autres. On découvre que l’on peut agir différemment sans que le monde s’écroule, que l’on peut être accepté même en étant singulier, et que l’authenticité attire souvent la bienveillance et l’admiration.

S’entourer de personnes bienveillantes

Sortir du cadre peut parfois susciter des réactions négatives ou de l’incompréhension. C’est pourquoi il est précieux de s’entourer de personnes qui encouragent l’authenticité, qui respectent la différence et qui soutiennent les démarches de transformation. Un entourage bienveillant offre un espace sécurisant pour expérimenter, se tromper, recommencer et grandir.

Rejoindre des groupes de développement personnel, des cercles de parole, ou simplement partager ses expériences avec des amis ouverts d’esprit, permet de se sentir moins seul dans ce cheminement. L’effet miroir du groupe aide à prendre du recul sur ses propres conditionnements et à s’inspirer des parcours des autres.

Accueillir les résistances

Il est naturel de rencontrer des résistances, internes ou externes, lorsqu’on commence à sortir du cadre. La peur du jugement, la crainte de l’échec ou du rejet, les doutes sur sa légitimité, sont des obstacles fréquents. Plutôt que de les fuir, il est utile de les accueillir avec bienveillance, de les observer sans se juger, et de se rappeler que chaque résistance est une opportunité de mieux se connaître.

Parfois, ces résistances sont le signe que l’on touche à des croyances très anciennes, profondément ancrées. Il peut alors être utile de se faire accompagner par un professionnel, coach ou thérapeute, pour explorer ces freins et les dépasser en douceur.

Retrouver sa liberté intérieure : choisir en conscience

Sortir du cadre, ce n’est pas rejeter en bloc toutes les règles ou toutes les traditions. C’est avant tout retrouver la capacité de choisir en conscience, de distinguer ce qui nous convient de ce qui ne nous convient pas, de ce qui nous nourrit de ce qui nous limite.

Redéfinir ses propres règles

En prenant du recul sur les conditionnements hérités, on peut redéfinir ses propres règles de vie. Quelles sont mes valeurs ? Qu’est-ce qui est important pour moi ? Quels comportements, quelles habitudes, quelles croyances ai-je envie de garder, de transformer ou de laisser derrière moi ? Ce travail d’introspection permet de construire une vie plus alignée avec son être profond.

S’autoriser à être imparfait

La peur de l’erreur ou du regard des autres est souvent liée à une exigence de perfection. Or, l’authenticité passe par l’acceptation de ses imperfections, de ses failles, de ses vulnérabilités. S’autoriser à être imparfait, à se tromper, à changer d’avis, c’est s’offrir la liberté d’apprendre, d’évoluer, de grandir.

Célébrer ses avancées

Chaque pas vers plus d’authenticité mérite d’être célébré. Prendre le temps de reconnaître ses progrès, de se féliciter pour ses initiatives, même modestes, nourrit la confiance en soi et encourage à poursuivre le chemin. La gratitude envers soi-même est un puissant moteur de transformation.

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L’impact positif sur la vie et les relations

Retrouver sa liberté intérieure et oser être soi a des répercussions positives dans tous les domaines de la vie. On se sent plus vivant, plus aligné, plus serein. Les relations deviennent plus authentiques, plus profondes, car elles sont basées sur la vérité de l’être et non sur le jeu des apparences.

Inspirer les autres par son exemple

Oser sortir du cadre, c’est aussi ouvrir la voie aux autres. En assumant sa différence, on montre qu’il est possible de vivre autrement, de penser autrement, de créer autrement. On devient une source d’inspiration pour ceux qui n’osent pas encore, et on contribue à faire évoluer les normes collectives vers plus de tolérance et de diversité.

Créer des relations plus vraies

Lorsque l’on ose être soi, on attire naturellement des personnes qui résonnent avec notre authenticité. Les relations superficielles ou basées sur le conformisme laissent place à des liens plus profonds, plus sincères. On se sent libre d’exprimer ses besoins, ses émotions, ses désirs, et l’on accueille plus facilement ceux des autres.

Se sentir à sa place

En se libérant des conditionnements, on retrouve le sentiment d’être à sa juste place, d’habiter pleinement sa vie. On cesse de jouer un rôle pour plaire ou pour se conformer, et l’on découvre la joie d’être simplement soi, ici et maintenant.

Se libérer des croyances limitantes : un chemin de transformation

Le travail sur les conditionnements et les croyances limitantes est un chemin de transformation profonde. Il demande du temps, de la patience, de la persévérance, mais il offre en retour une liberté et une paix intérieure inestimables.

Identifier ses croyances racines

Pour se libérer, il est utile d’identifier les croyances racines qui sous-tendent nos comportements. Cela peut se faire par l’écriture, la méditation, l’accompagnement thérapeutique, ou simplement en observant les situations qui génèrent du malaise ou de la frustration. Derrière chaque réaction automatique, il y a souvent une croyance à explorer.

Remettre en question et transformer

Une fois la croyance identifiée, il s’agit de la remettre en question : est-elle vraiment vraie ? Est-elle toujours utile ? Quelles seraient les conséquences si je choisissais de penser autrement ? Ce travail de questionnement ouvre la porte à de nouvelles perspectives, à de nouveaux choix.

On peut alors remplacer la croyance limitante par une croyance plus aidante, plus alignée avec ses aspirations. Par exemple, remplacer « Je dois être parfait pour être aimé » par « J’ai de la valeur tel que je suis, avec mes forces et mes faiblesses ».

Pratiquer l’auto-compassion

Le chemin de la libération des croyances est jalonné de hauts et de bas. Il est important de faire preuve d’auto-compassion, de se traiter avec douce

S’ouvrir à la nouveauté et à la créativité

 

En se libérant des conditionnements, on s’ouvre à la nouveauté, à la créativité, à l’inattendu. On ose explorer de nouveaux horizons, tester de nouvelles idées, inventer sa propre façon de vivre.

Cultiver la curiosité

La curiosité est une alliée précieuse sur ce chemin. Elle permet d’aborder la vie avec un regard neuf, d’accueillir chaque expérience comme une opportunité d’apprendre et de grandir. Plutôt que de craindre l’inconnu, la curiosité invite à l’explorer, à s’ouvrir à d’autres façons de penser, d’agir, de ressentir. Elle encourage à sortir des sentiers battus, à remettre en question les habitudes et à s’autoriser à expérimenter.

La curiosité, c’est aussi accepter de ne pas tout savoir, de ne pas tout maîtriser. C’est reconnaître que la vie est un processus d’évolution permanente, et que chaque jour offre la possibilité de découvrir quelque chose de nouveau sur soi, sur les autres, sur le monde. En cultivant cette ouverture, on développe une plus grande flexibilité, une capacité d’adaptation et une joie de vivre renouvelée.

 

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Oser la créativité au quotidien

La créativité n’est pas réservée aux artistes. Elle est présente en chacun de nous, dans la façon dont nous résolvons les problèmes, dont nous organisons notre quotidien, dont nous imaginons l’avenir. Oser être créatif, c’est s’autoriser à penser différemment, à proposer des solutions originales, à exprimer sa singularité.

Cela peut passer par de petits gestes : cuisiner un plat inédit, réaménager son espace de vie, écrire, dessiner, chanter, inventer de nouveaux rituels. La créativité se nourrit de la liberté intérieure, de l’audace d’essayer, de l’acceptation de l’imperfection. Plus on s’autorise à créer, plus on développe la confiance en sa capacité à innover et à s’adapter.

Accueillir l’inattendu

En s’ouvrant à la nouveauté, on apprend aussi à accueillir l’inattendu, à composer avec l’imprévu. Plutôt que de résister au changement ou de s’accrocher à ce qui est connu, on peut choisir de voir chaque situation nouvelle comme une occasion de se réinventer. Cette posture d’ouverture permet de transformer les obstacles en opportunités, les échecs en apprentissages, les imprévus en aventures.

L’importance de l’écoute de soi et de l’intuition

Sur le chemin de la libération des conditionnements, l’écoute de soi et de son intuition devient un guide précieux. Apprendre à se reconnecter à ses ressentis, à ses besoins, à ses élans profonds, permet de faire des choix plus alignés avec qui l’on est vraiment.

Prendre des temps de pause

Dans un monde où tout va vite, il est essentiel de s’accorder des moments de pause, de silence, de retour à soi. Cela peut être une méditation, une promenade en nature, un temps d’écriture ou simplement quelques minutes de respiration consciente. Ces espaces de calme permettent de faire le point, de clarifier ses envies, de se recentrer sur l’essentiel.

Faire confiance à son intuition

L’intuition est une forme d’intelligence subtile, souvent plus rapide et plus juste que le raisonnement logique. Elle se manifeste par des sensations, des élans, des certitudes intérieures qui ne s’expliquent pas toujours rationnellement. Apprendre à écouter et à suivre son intuition, c’est se donner la chance de vivre une vie plus fluide, plus authentique, plus en accord avec ses aspirations profondes.

S’autoriser à dire non

L’écoute de soi passe aussi par la capacité à poser des limites, à dire non quand c’est nécessaire, à respecter ses besoins et ses valeurs. Oser dire non, c’est affirmer sa souveraineté, se donner le droit de choisir ce qui est bon pour soi, même si cela va à l’encontre des attentes ou des habitudes collectives.

S’entourer de personnes inspirantes et bienveillantes

Le chemin de la transformation intérieure est facilité par la qualité de notre entourage. S’entourer de personnes qui nous encouragent, qui croient en nous, qui nous inspirent, est un véritable atout pour oser être soi.

Choisir ses relations

Il est important de faire le point sur les relations qui nous entourent. Certaines personnes nous tirent vers le haut, nous motivent, nous soutiennent. D’autres, au contraire, peuvent être toxiques, critiques, décourageantes. Prendre conscience de ces dynamiques relationnelles permet de faire des choix plus conscients, de privilégier les relations qui nourrissent notre confiance et notre épanouissement.

S’inspirer sans se comparer

S’inspirer des parcours des autres, de leurs réussites, de leurs choix, peut être une source de motivation et d’ouverture. Mais il est essentiel de ne pas tomber dans la comparaison, qui peut générer frustration ou découragement. Chacun avance à son rythme, avec ses propres défis et ses propres ressources. L’important est de rester fidèle à soi-même, tout en s’ouvrant à l’inspiration et au soutien du collectif.

Créer des espaces de partage

Participer à des groupes de parole, des ateliers, des cercles de développement personnel, permet de partager ses expériences, de recevoir des retours bienveillants, de se sentir moins seul dans son cheminement. Ces espaces favorisent l’entraide, la solidarité, la co-création, et renforcent la confiance en la possibilité de changer.

Se faire accompagner sur le chemin de la transformation

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Il n’y a aucune honte à demander de l’aide. Au contraire, c’est souvent une preuve de maturité et de courage. Personne ne peut tout affronter seul, et il est normal, à certains moments de la vie, de ressentir le besoin d’être soutenu, guidé ou simplement écouté.

Briser l’isolement

Demander de l’aide, c’est aussi sortir de l’isolement. Parfois, on a tendance à garder pour soi ses difficultés, ses doutes, ses peurs, par crainte d’être jugé ou de déranger. Pourtant, partager ce que l’on vit avec une personne de confiance, un ami, un membre de la famille ou un professionnel, permet souvent de prendre du recul, de relativiser et de trouver de nouvelles solutions. L’écoute bienveillante d’autrui offre un miroir, un soutien, et parfois même des pistes auxquelles on n’aurait pas pensé seul.

Le rôle des professionnels de l’accompagnement

Les coachs, thérapeutes, psychologues et autres professionnels de l’accompagnement sont là pour t’aider à mieux te connaître, à dépasser tes blocages, à clarifier tes objectifs et à avancer plus sereinement. Leur regard extérieur, leur écoute attentive et leurs outils spécifiques peuvent faire une réelle différence dans ton parcours. Ils t’aident à identifier les croyances limitantes, à transformer les schémas répétitifs et à retrouver confiance en tes ressources.

Choisir la bonne personne pour t’accompagner

Il est important de choisir un accompagnant avec lequel tu te sens en confiance, qui respecte ton rythme et tes valeurs. N’hésite pas à rencontrer plusieurs professionnels, à poser des questions, à écouter ton ressenti avant de t’engager. Un bon accompagnement est avant tout une relation de confiance et de respect mutuel, un espace où tu peux t’exprimer librement, sans crainte d’être jugé.

Un accompagnement personnalisé pour avancer

Chaque personne est unique, et il n’existe pas de solution universelle. Un accompagnement personnalisé, adapté à ta situation, à tes besoins et à tes objectifs, te permettra d’avancer à ton rythme, de lever les freins qui t’empêchent d’avancer et de révéler tout ton potentiel. C’est un investissement sur toi-même, sur ton bien-être, sur ta liberté d’être.

Je finirais par vous dire : Oser être soi, même dans un ascenseur

L’expérience de l’ascenseur, aussi simple soit-elle, nous rappelle à quel point nos vies sont façonnées par des règles invisibles, des croyances héritées, des conditionnements puissants. Mais elle nous montre aussi qu’il est possible de choisir autrement, d’oser la différence, de retrouver sa liberté intérieure.

Se libérer des conditionnements, c’est s’autoriser à questionner la normalité, à explorer de nouvelles façons d’être, à exprimer sa singularité. C’est un chemin de courage, de curiosité, de bienveillance envers soi-même. C’est aussi un chemin de joie, de créativité, de rencontres authentiques.

En tant que coach holistique, j’accompagne celles et ceux qui souhaitent se reconnecter à leur essence, dépasser leurs peurs et vivre une vie alignée avec leurs aspirations profondes. Se libérer des croyances limitantes, c’est le premier pas vers une existence plus consciente, plus joyeuse et plus sereine.

Osez vous retourner dans l’ascenseur, osez être vous-même dans tous les espaces de votre vie. C’est ainsi que vous inspirerez les autres à faire de même, et que, petit à petit, vous contribuerez à créer un monde plus ouvert, plus tolérant, plus humain.

Si tu ressens l’appel à explorer tes conditionnements, à retrouver ta liberté intérieure et à vivre une vie plus alignée, n’hésite pas à demander de l’aide ou à rejoindre un accompagnement personnalisé. Le chemin vers soi est le plus beau des voyages, et il commence par un simple pas… même dans un ascenseur.

Si tu souhaites aller plus loin, je t'invite à réserver un moment d'échange pour te présenter ce que je peux t'apporter et répondre à toutes tes questions :  Je réserve mon appel

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